EURONAVAL 24th - International Naval Defence Maritime Exhibition, Paris 2014

Euronaval 24th international naval defence and maritime exhibition, Paris, October 2014

 

http://www.euronaval.fr/



EURONAVAL 2014, the biennial International Naval Defence & Maritime Exhibition and Conference, will take place from 27 to 31 October 2014 at the Le Bourget Exhibition and Conference centre in Paris. Supported by the French Ministry of Defence and the French Navy, it is the major naval and maritime defence exhibition in Europe in the alternate years to the DSEI exhibition in the UK. 

The five day event comprises an exhibition, conference, the visit of VIP & senior staff delegations and it will showcase a full range of naval and maritime defence and security technologies, products and services. The exhibition benefits from excellent facilities, security, parking, good catering, conference halls and many other modern features.

 

At its 23rd edition, Euronaval confirmed its position as a world first class event in naval defence and maritime safety and security and a promoter of innovation.

 

With 30,458 professional visits from 115 countries, without counting official delegations, interest in this exhibition of reference has shown significant increase. Just after France, Russia recorded the highest visitor participation, followed by Italy, Germany, and the United Kingdom. Large and midcap companies scored for 68% of attendances, and small to medium and very small enterprises accounted for 32%.

 

The 2012 exhibition was marked by two important features: the presence of very high-level foreign delegations with strong decision-making roles in their countries’ acquisition programmes, and the significant increase in the number of official delegations, confirming the interest of decision-makers worldwide in this event.

Euronaval once again proved itself to be an international Naval Defence and Maritime Safety and Security venue capable of bringing together decision-makers, buyers and suppliers from around the world. This event similarly shows that the naval defence sector is generally healthy on an international scale, despite the difficult economic climate in Europe.

 

http://www.defense.gouv.fr/   http://www.defense.gouv.fr/marine   http://www.sgmer.gouv.fr/   http://www.defense.gouv.fr/dga

 


PREVIOUS ATTENDANCE 2012

 

In 2012 Euronaval attracted 370 exhibitors from 33 countries. Germany, Israel, Italy, Russia and the United States were all better represented than at earlier shows.

 

Total attendance was also significantly higher, with 34.000 visitors from 115 countries. The risk of transportation difficulties due to strikes and social unrest deterred few, if any.

 

Euronaval 2012, welcomed no fewer than 96 official delegations from 67 countries representing close to 300 guests of honour, including government ministers, secretaries of state, chiefs of staff and national armaments directors. Navy chiefs of staff attended from Brazil, Chile, Iraq, Kuwait, Lybia, Malaysia, Morocco, Oman, Qatar, Russia, Saudi Arabia and the United Arab Emirates. Delegations from coast guard authorities and ministries of the interior were also welcomed from Malaysia, Qatar, Saudi Arabia and the UAE.

 

370 exhibitors from 33 countries
34,000 trade visitors
96 Official Delegations from 67 countries
14,500 m² net exhibition space
1,200 business meetings for attendees from 28 countries
400 journalists
300 guests of honour

 

 

UK EXHIBITOR ELIGIBILITY 

The Society of Maritime Industries, in partnership with UKTI Defence & Security Organisation, is organising and managing the UK Group of exhibitors in an area of the hall dedicated exclusively to UK companies.

The livery of the co-located UK Pavilion attracts visitors and international delegations and the presence of official UKTI DSO staff makes plain HMG support for the UK exhibitors. 

The exhibition is open to exhibitors world-wide from companies or groups of companies which design, manufacture, maintain, repair or modernise naval equipment, including naval aviation equipment, refit ships, support fleets, train personnel, and promote, sell or provide naval and maritime security services, or produce documentation and journals connected with the naval and maritime security industry.

THE UK GROUP AT EURONAVAL 2014 

UK Group exhibitors are co-located in a prime location in the exhibition hall. The UK Pavilion will provide budget booths from 12 sq.m. with basic furniture. Additional furniture can be specifically ordered. 

SMI as the group organiser, deals direct with the French exhibition organisers, co-ordinates payments, reclaims VAT and refunds it to exhibitors, appoints agents and stand contractors, produces the UK Group catalogue, briefs the exhibitors, etc.

 

A programme, managed by the UK Group staff, ensures that all visiting delegations are routinely brought to all UK Group exhibitors. 

 

The UK Pavilion includes an office and information centre together with a meeting room for the exclusive use of exhibitors in the UK Group.

 

A catalogue exclusive to exhibitors in the UK Group is made available for distribution to visitors and delegations alike to further promote the exhibitors and their products. 

 

 

CONTACTS

 

UK Maritime Industries

Clementina Upton, Events Manager 
t: 020 7448 7023
e: events@maritimeindustries.org 

 

 

SOGENA
60 rue de Monceau,
75008 Paris, France
Tel: +33 (0)1 56 59 15 15
Fax: +33 (0)1 45 63 59 37
info@euronaval.fr

 

Jocelyn de Virel, Sales Manager : jdevirel@euronaval.fr

+33 1 56 59 15 05

Julie Boozer, Sales Assistant : jboozer@euronaval.fr

+33 1 56 59 15 06

 

 

Secrétariat général de la mer
69 rue de Varenne
75007 Paris

Métro : ligne 13, station "Varenne"

Tél. 01 42 75 66 00
Fax. 01 42 75 66 78

Adresse courriel : sgmer@pm.gouv.fr

 

 

Ministère de la Défense

Ilot Saint Germain
231 bd St Germain 75005 PARIS

N° AZUR® : 0 810 646 333

 

 

DCNS Siège social

40-42, rue du Docteur Finlay
75732 Paris Cedex 15
Tél. : +33 (0)1 40 59 50 00
Fax. : +33 (0)1 40 59 56 48

 

 

Nuclear submarine radiation danger to crew and planet earth

 

 

RECHERCHE ET DÉVELOPPEMENT

 

Imaginer les futurs possibles, anticiper les menaces et les risques, faire mûrir les technologies, développer les partenariats européens. La préparation du futur des systèmes de défense vise à doter la France des moyens nécessaires à sa politique de défense et de sécurité, avec le niveau d’autonomie souhaité et dans le respect de ses engagements internationaux. Pour préparer l’avenir, la direction générale de l’armement (DGA) veille à s’assurer d’un accès pérenne à la base industrielle et technologique nécessaire, en développant des stratégies en matière de recherche et technologie, d’industrie, et de coopération. Pour ces actions, la DGA participe à l’élaboration de la vision prospective de la menace et du système de défense, en étroite relation avec les forces armées.

 

 

 

EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE

Chaque fois que possible, des économies d'énergie devraient être intégrées afin de réduire le budget militaire. Avec la bonne combinaison de la technologie ce qui peut avoir pour effet d'améliorer la sécurité pour les hommes dans le domaine, en particulier en utilisant la robotique.

En particulier, en utilisant techniues supérieures pour la récolte de l'énergie de la nature, ce qui peut réduire de façon significative ou supplanter le diesel et combustibles nucléaires, où le diesel est sale et le nucléaire est dangereux du point de terrorisme et d'espionnage.

 

 

 

RECONNAISSANCE ET INDEMNISATION DES VICTIMES DES ESSAIS NUCLÉAIRES FRANÇAIS


Reconnaissance et indemnisation des victimes des essais nucléaires français

Le 13 juin 2010, le Journal officiel a publié le décret d’application, qui fait suite à la loi du 5 janvier 2010, relative à la reconnaissance et à l’indemnisation des victimes des essais nucléaires français.

La loi du 5 janvier 2010 prévoit une procédure d’indemnisation pour les personnes atteintes de maladies résultant d’une exposition aux rayonnements des essais nucléaires français.

Cette procédure concerne le personnel qui a participé aux essais nucléaires français réalisés au Sahara et en Polynésie entre 1960 et 1998 (dates selon les zones), ainsi que les populations locales certifiant avoir séjourné ou résidé dans les zones d’essais énumérées dans la loi.

Afin de traiter les demandes, le comité d’indemnisation des victimes des essais nucléaires (CIVEN) et son secrétariat ont été mis en place au sein de la direction des ressources humaines du ministère de la défense (DRH-MD).

 

 

 

 

RÉCOLTE DES VENTS ET L'ÉNERGIE DES VAGUES

 

Les études amont sont des recherches et études appliquées, de nature technique, couvrant tout le spectre de maturité des technologies ( R&T de base, études technologiques, démonstrateurs), entreprises en préparation du lancement des programmes d'armement. Avec les subventions et études attribuées à des organismes de recherche et des actions en faveur des petites et moyennes entreprises, elles forment un agrégat qui correspond à ce que nombre de pays étrangers appellent recherche et technologie (R&T) de défense.

 

Le Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale 2008 fixe la nouvelle référence du besoin moyen et long terme, en ce qui concerne les grandes capacités opérationnelles à détenir, mais aussi le degré de souveraineté et d'autonomie à préserver ou les partenariats internationaux à développer pour la conception, la réalisation et la mise en oeuvre de chacune d'elles.

 

Sur ces bases, la politique du ministère de la défense en matière de R&T a pour objectif de :

 

  •  développer et maîtriser les technologies nécessaires aux futurs systèmes de défense ;

  •  maintenir dans la durée les compétences critiques menacées par les cycles des équipements de défense, où des phases de production de matériels de série alternent avec des phases de développement technologiques ;

  •  fédérer les efforts de recherche au niveau européen ;

  •  favoriser les synergies entre la recherche civile et la recherche de défense ;

  •  contribuer aux besoins technologiques de la sécurité en mutualisant les démarches de recherche en matière de défense et de sécurité ;

  •  faire émerger des technologies de rupture.

 

Ces ambitions multiples et les contraintes budgétaires imposent une démarche rationnelle, souple et opportuniste de choix des technologies prioritaires à soutenir par l'effort de recherche. La sélection des programmes d'études amont (PEA) est opérée suivant un processus animé par la DGA sur la base d'un dialogue entre entités internes ou externes comme l'état-major des armées, porteuses des différents besoins.

Une attention particulière est portée aux points suivants :

En dehors de quelques thématiques pour lesquelles la France souhaite une maîtrise nationale (nucléaire, travaux sensibles sur la menace biologique, technologies particulières de renseignement…), la coopération de R&T est la voie privilégiée. La politique générale est l'ouverture européenne, sous forme bilatérale ou multilatérale, dans le cadre de l'agence européenne de défense pour le dernier cas.

Une mutualisation des efforts avec les ministères civils est recherchée dans le domaine des technologies de sécurité.

Alors que les retombées civiles des recherches de défense semblent plus importantes que les effets inverses, une plus grande synergie doit être trouvée entre recherche civile et recherche de défense.

Les études amont sont exécutées par :

 

  •  les grands industriels, maîtres d'oeuvres et équipementiers du secteur de la défense au travers de            marchés publics ;

  •  des petites et moyennes entreprises, soit par contrat direct, soit en sous-traitance ;

  •  des organismes publics dont les établissements de recherche sous tutelle DGA.

 

ANNUAIRE DE LA FILIÈRE FRANÇAISE DES ÉNERGIES MARINES RENOUVELABLES 2013

Une logique collective d’innovation et de structuration Elle concerne les acteurs du monde de l’énergie et des autres filières industrielles associées, en premier lieu celles des acteurs du maritime, notamment via les travaux du Comité Stratégique de la Filière Navale, du CORICAN (Conseil d’orientation de la recherche et de l’innovation pour la
construction et les activités navales), de l’IEED France Energies Marines, des pôles de compétitivité (notamment Mer-Bretagne, Mer-PACA, EMC2), de l’IRT-Jules Verne, des clusters locaux et nationaux et organisations professionnelles (GICAN, SER, Néopolia, Bretagne Pôle Naval, GEP..). Cela se traduit par :


•  Un effort très significatif en R&D sur les technologies EMR mené depuis 5 ans Cet effort, largement accompli et prolongé dans le cadre des pôles de compétitivités cités plus haut, est notamment coordonné au niveau national dans le cadre du CORICAN, qui a engagé la définition d’une feuille de route EMR, en lien avec la montée en puissance de France Energies Marines et de l’IRT Jules Verne notamment.


•  Des actions pour la structuration/montée en compétence des entreprises
Deux projets en particulier visent à cette structuration de la filière industrielle :

- Le projet Windustry France , porté par le SER : promotion et accompagnement individualisé des entreprises de la filière éolienne (pour plus d’informations : www.windustry.fr). Ce projet a été labellisé par le CGI, et est soutenu par OSEO.

- Le projet EMERGENCE, porté par Néopolia, accompagné par le GICAN : regroupement des PME et ETI dans l’optique de gagner des parts de marchés sur l’ensemble des EMR (3 volets : stratégie, montée en compétences, projets collaboratifs).


Il s’agit de permettre aux entreprises, PME et ETI particulièrement, de se positionner sur la chaîne de valeur, d’établir une stratégie industrielle de montée en compétences (techniques, règlementaires, besoins des donneurs d’ordre à comprendre, etc.), d’entraîner une dynamique collaborative, de tendre à coordonner les actions régionales, et de faciliter l’accès au financement

 

 

 


INTRODUCTION LES PRINCIPALES STRUCTURES DE SOUTIEN À LA RECHERCHE ET DÉVELOPPEMENT EN FRANCE

L’ADEME

L’Agence De l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie a lancé en 2009 un Appel à Manifestation d’Intérêt (AMI) Energies Marines, afin de lever des verrous technologiques et non-technologiques (impacts environnementaux, économiques, etc.) dans différentes filières des énergies marines.


Cinq projets ont été sélectionnés à l’issue de cet AMI (2 projets hydroliens : SABELLA D10 et ORCA, 2 projets d’éolien flottant : VERTIWIND et WINFLO, et 1 projet d’houlomoteur : S3).


L’ADEME soutient la R&D en finançant des projets et des thèses visant à développer des nouvelles technologies ou s’intéressant à des thématiques transversales comme l’évaluation des ressources, la réglementation, les impacts environnementaux ou encore l’analyse de cycle de vie. Par ailleurs, L’ADEME réalise des missions d’expertise pour les Ministères et participe ainsi à l’examen des dossiers dans le domaine des énergies marines pour le fonds démonstrateur européen NER 300, un dispositif permettant de financer des démonstrateurs de captage et stockage du CO2 et d’énergies renouvelables innovantes de taille commerciale.


> Le CORICAN


Au niveau national et transversal (à la fois pour les navires de pose et de soutien et pour les structures marines autres que les générateurs eux-mêmes - par exemple, les stations électriques en mer), le CORICAN (Conseil d’Orientation de la Recherche et de l’Innovation pour la Construction et les Activités Navales) coordonne les besoins en recherche, développement et innovation des  industriels ayant les savoir-faire maritimes et navals nécessaires au développement de la filière des Energies Marines Renouvelables.


Le CORICAN a notamment adopté une feuille de route pour les dix ans à venir. Ce document constitue la base d’une stratégie de recherche ambitieuse et coordonnée pour répondre aux défis du futur. Afin d’approfondir les réflexions issues de cette feuille de route stratégique, des feuilles de route par technologies sont à présent développées par des groupes d’industriels ; l’une d’entre elles concerne spécifiquement les EMR.


> Les Pôles de compétitivité


Les Pôles de Compétitivité Mer PACA et Mer Bretagne ont clairement identifié, dans leurs feuilles de route 2009-2012 et 2013-2018, un programme fédérateur Energies Marines Renouvelables qui a déjà conduit à l’émergence, la labellisation et le cofinancement de nombreux projets d’EMR dans les différentes technologies : houlomoteurs, hydroliennes, éoliennes et thermiques. A ce jour, les Pôles Mer ont labellisé pour plus d’un milliard d’euros de projets collaboratifs innovants dont au moins un quart concerne le domaine des EMR. Ils ont, par ailleurs, contribué à la création de l’IEED France Energies Marines.


Le Pôle EMC2 joue, depuis les Pays de la Loire, un rôle actif dans le développement de la filière EMR française. Positionné sur les technologies avancées de production, sa feuille de route lui permet, notamment, de relever les défis technologiques de l’industrialisation, de la sécurité et la longévité des structures de grandes dimensions. Fort de son approche multifilières, l’écosystème EMC2, avec l’IRT Jules Verne dont il est à l’origine, poursuit naturellement sa stratégie de fertilisation croisée avec les énergies marines renouvelables.


Les Pôles Mer et le Pôle EMC2, en coopération avec le CORICAN et les nouveaux Instituts de Recherches Technologiques récemment créés (voir ci après), contribueront à faire émerger et labelliser de nouveaux projets pouvant faire l’objet de demandes de soutien auprès d’organismes tels que le Fonds Unique Interministériel, l’Agence Nationale de la Recherche, l’ADEME, Oseo, l’Union Européenne, etc.

 

 

 

DCNS

 

fL’examen du secteur des énergies marines renouvelables a démontré qu’il y avait d’un point de vue technologique et industriel de grandes synergies entre ce domaine et le naval de défense, cœur de métier historique de DCNS. Les savoir-faire du Groupe, ses moyens industriels et son expertise permettent à DCNS de jouer un rôle moteur sur l’ensemble du cycle de réalisation de ces nouveaux systèmes, depuis la conception jusqu’à la maintenance, sans oublier la construction. Ce développement s’inscrit dans le cadre de la stratégie de croissance du Groupe. DCNS a l’ambition de réaliser un tiers de son chiffre d’affaires à terme de la décennie dans le secteur des énergies.

Aujourd’hui, avec la prise de contrôle de la start-up irlandaise OpenHydro spécialisée dans les hydroliennes, le Groupe passe d’une phase de développement à une phase industrielle de son activité énergies marines renouvelables. A cet égard, un premier enjeu majeur concerne l’industrialisation de la solution innovante conçue par OpenHydro. Dans cette optique, une Business Unit Energies Marines Renouvelables (EMR) est constituée afin de regrouper l’activité d’OpenHydro et les activités EMR de DCNS en incubation (éoliennes flottantes, énergie thermique des mers et énergie des vagues).

DCNS, la preuve par quatre

DCNS investit dans quatre des principales technologies d’énergies marines renouvelables :

- l’énergie des courants de marées, captée à l’aide de turbines sous-marines, appelées « hydroliennes », qui transforment l’énergie des courants marins en électricité. L’ambition de DCNS est de réaliser un chiffre d’affaires d’au moins un milliard d’euros à l’horizon 2025 sur le marché de l’énergie hydrolienne. Plusieurs dizaines de milliers de turbines devraient être installées à terme à travers le monde. OpenHydro, société de DCNS, développe une turbine innovante permettant d’obtenir un prix d’électricité compétitif et a déjà établi des partenariats commerciaux avec plusieurs clients. En septembre 2013, DCNS a annoncé qu’il répondrait à l’appel à manifestation d’intérêt lancé par le gouvernement pour l’installation de fermes pilotes d’hydroliennes au large des côtes françaises. DCNS sera le moteur de la création de 1.000 emplois locaux pour la production d’hydroliennes en France;

- l’énergie thermique des mers exploite la différence de température entre les eaux de surface, chaudes dans les mers tropicales, et les eaux froides des profondeurs, pour produire du courant électrique en continu. Après avoir livré à la Région Réunion le prototype à terre de la future centrale d’énergie thermique (ETM) des mers, DCNS a poursuivi ses travaux sur le tuyau d’aspiration d’eau froide en effectuant notamment des essais en bassin. Dans le cadre du projet de centrale ETM en Martinique, DCNS a rendu en novembre 2012 sa première étude d’impact dont les conclusions ont été accueillies positivement par les parties prenantes locales;

- l’énergie du vent en mer, captée à l’aide d’éoliennes flottantes installées au large ; DCNS développe la technologie Winflo, qui conduira à la réalisation d’un démonstrateur d’une puissance d’1 MW. Il sera mis à l’eau en 2014 et sera raccordé au réseau électrique. La réalisation d’un site pilote permettra ensuite de valider le modèle économique avant l’installation de parcs commerciaux avec des unités de plus grande puissance (5 à 7 MW), à l’horizon 2020, d’abord en France, puis dans le monde;

- l’énergie des vagues, dont le principe est de récupérer l’énergie de la houle. DCNS a signé en septembre 2013 avec l’énergéticien Fortum et la société technologique AW-Energy un accord de développement dans le secteur des énergies marines renouvelables, avec le soutien de la région Bretagne. Dans le cadre de cet accord, les entreprises partenaires développeront ensemble un démonstrateur de ferme houlomotrice captant l’énergie des vagues. Basée sur la technologie WaveRoller™, la ferme expérimentale aura une puissance de 1,5 MW. Parallèlement, EDF EN et DCNS déploient actuellement à La Réunion le projet « Houles australes » permettant de tester une technologie de la société australienne Carnegie.

 

 

 

 

LINKS

 

http://www.2020visionnetwork.eu/sme/

http://erc.europa.eu/funding-schemes

http://ec.europa.eu/research/horizon2020/index_en.cfm

EU funding schemes

Horizon 2020

http://cordis.europa.eu/fp7/ncp_en.html

 

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    Il est étonnant que, avec le passage à produire de l'électricité avec des appareils en mer , que personne ne pense à capturer la même énergie pour le transport. La plate-forme Bluefish ZCC permet à la technologie de zéro Cruisers carbone ( ZCCs ) de l'avenir . Le concept ZCC est basée sur une conception de la coque OSCILLANT léger qui est extrêmement stable , en cours de développement au Royaume-Uni en format modèle à moyenne échelle pour les tests de réservoir . La conception utilise pas de carburant diesel pour parcourir les océans à une vitesse relativement élevée 24/7 et 365 jours par an si nécessaire - seulement possible avec un système de récupération de l' énergie unique (environ 50/50 solaire / éolienne split ) . Le hullform est adapté à : habité , drone , ou un fonctionnement autonome . On estime que le navire de base sera rentabilisé en carburant économisé tous les dix ans . Le plus gros navire, le plus de carburant est enregistrée . Avec la hausse du prix des soutes l'économie de fonctionnement sont favorables , en dehors de la politique verte . Le combat ZCC MK26 ci-dessus est un navire 50-60 tonnes évalué à 176 - 211kW d'énergie récoltée rapport de déplacement donnant un EH / D de 3.52kW/ton - pour fournir des vitesses moyennes de croisière dans la région de 7-10 noeuds , et capacité de sprint d'environ 20 noeuds , en fonction des spécifications du moteur / équipement. Le MK26 est de 50m ( 163ft ) sur la ligne de flottaison. L' UT est 56M ( 183ft ).

     

     

     

     

     

     

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